Friday, August 3, 2012: 11:05 AM
Faculty of Economics, TBA
In the book « On not being able to paint », Marion Milner explores the way imagination has to transform to be able to sustain the meeting of an external world in a vital and open way. In doing this, she studies the work that activate the use of cultural mediations, living mediations that enable us to meet ourselves, others and our environment. In this paper we will remind some of these results and discuss them in a sociological way, in particular considering Richard Sennett ‘s approach of cultural mediation.
Dans son ouvrage, « On not being able to paint », Marion Milner explore, à travers l’expérience de la peintre, le trajet que l’imagination se doit d’accomplir avant d’être en mesure de soutenir la rencontre d’un monde extérieur à soi, dans un rapport à la fois vivant et ouvert. Ce faisant elle interroge le travail qui sous-tend l’usage des médiations culturelles « vivantes », dans ce qu’elles autorisent comme expériences de soi, des autres et du monde. Nous rappellerons les éléments saillants de cette approche avant d’en dégager certains enjeux sociologiques, notamment en dialogue avec les analyses de Richard Sennett.