515.4
Repoussées Par Le Travail Ou Attirées Par La Vie Privée ? L'inactivité De Jeunes Diplômées En Italie

Wednesday, July 16, 2014: 6:15 PM
Room: 415
Oral Presentation
Annalisa TONARELLI , Department of Political and Social Sciences -- Dsps, University of Florence, Florence, Italy
La monté des toux d’activité à intéressé les femmes de tous pays occidentales depuis l’après guerre. Cette croissance a été en Italie plus tardive et plus faible qu’ailleurs. Encore aujourd’hui, et encore plus dans le année d’après la crise économique, la composante de femmes qui travaillent ou qui sont prête à le faire demeure beaucoup plus basse que dans les autres Pays d’Europe même parmi les plus jeunes et le plus diplômées. Le recours à des explications culturaliste est toujours à porté de main,  mais est ce que rester à la maison représente pour autant d’italiennes une véritable choix ou l’accomplissement d’un désir ? A’ partir des résultats d’une recherche de terrain qui porte sur les expériences d’un échantillon de jeunes mères au foyer titulaire d’un niveau d’études élevé  on montre d’abord que leur vécu est très loin du stéréotype d’antan.  Ni choisie ni subie leur condition tiens plutôt à la façon dont elles font face aux évolutions qui, avec l’austérité, ont caractérisé à la fois le marché du travail  e l’organisation de l’état sociale y compris la disponibilité de famille d’origines à soutenir leurs enfants  dans la conciliation antre vie privé et vie professionnelle. Dans un cadre de plus en plus caractérisé par la précarisation de l’emploi et l’affaiblissement de politique publique et privé  d’articulation travail/famille, rester temporairement à la maison est aperçue, pour des femmes  qui n'ont jamais expérimenté une insertion stable, comme une façon de faire face a des impératif professionnels et familiaux contradictoires. In ne s’agit pas, pour autant, d’une stratégie comme une autre. L’absence de toute sorte d'allocation et la réduction de dispositifs d’insertion et de formation continue, aussi que la persistance des inégalités soit sur le marché du travail que dans les ménages risquent d’enfermer ces femmes dans une condition plus que temporaire.